DIG/«Le pont d’Isaac comme le pont d’Adouma, sur le plan purement structurel, il n’y a pas d’inquiétudes particulières à se faire.
Nous avons regardé toutes les dégradations sur le pont. Nous pensons que la structure que nous avons vu tient sérieusement et a encore beaucoup d’années devant elle ».
» Le pont de Kango a fait récemment l’objet d’auscultation et des conclusions du rapport de l’opération. Cet ouvrage n’a aucun problème de portance donc peut assurer encore la sécurité des usagers sur plusieurs années »
En dépit des assurances de l’ancien ministre des TP, Léon Armel Bounda Balonzi, et de la direction générale des Infrastructures et du Transport (DGIT) en mai et juin 2022 sur la non dangerosité des fissures et autres déformations apparaissant sur les ponts de Kango et de Lambaréné, les autorités de la Transition ne veulent prendre aucun risque.
Aussi, ont-elles décidé, d’inscrire comme projets prioritaires, la réhabilitation des ponts de Kango et de Lambaréné.
Il est ainsi prévu une enveloppe globale de 72 milliards de francs pour leur « remise en état » sur 3 ans. Soit la période 2024-2026.
Celle-ci sera répartie ainsi q’il suit : 7,3 milliards de francs en 2024 ; 32,350 milliards de francs en 2025 et 32,350 milliards de francs en 2025.
Selon le Plan national de développement de la Transition (PNDT), ces travaux seront entièrement financés sur le budget de l’Etat.