DIG/ Les installations stratégiques de la SEEG seraient-elles à ce point si poreuses, ne possédant aucun système de visio-surveillance ?
La spectaculaire coupure d’électricité intervenue dans la nuit du 31 décembre 2017 au 1er janvier 2018 n’a toujours pas trouvé d’explications, ni de coupables.
Selon le service de communication de la SEEG, ce dysfonctionnement n’est, ni plis ni moins, qu’un énième acte de sabotage.
« Cette coupure a, selon toute vraisemblance, été causée par un acte de malveillance. Elle a provoqué le délestage d’une partie du réseau de distribution de l’agglomération de Libreville », indique le service de communication de la SEEG.
L’entreprise a décidé de porter plainte contre cet acte de malveillance qui met, selon elle, « en péril la bonne marche du service public d’électricité ».
« Les équipes techniques ont été mobilisées et la réalimentation progressive du réseau a débuté à 0h38mn pour s’achever à 2h du matin. Des investigations sont en cours pour déterminer l’origine de ce dysfonctionnement », a souligné la filiale du français Veolia.