DIG/ L’épidémie de grippe actuelle faisait déjà craindre le pire. C’est maintenant officiel.
Le Conseil des ministres du 3 janvier 2022 a annoncé la présence sur le territoire national du variant Omicron d’où la montée en flèche des cas de contaminations à la covid-19.
« Face à la quatrième vague de cette pandémie qui se caractérise par une augmentation exponentielle des cas de Covid-19 liés, notamment, par la présence du variant Omicron sur le territoire national, le Chef de l’Etat, a confirmé l’urgence attachée au maintien des mesures de prévention, de lutte et de riposte contre la Covid-19 en instruisant le Gouvernement à renforcer et promouvoir la vaccination pour un retour à la vie normale et la relance de l’économie », a indiqué le Conseil des ministres.
D’après les premières données, les personnes infectées par le variant Omicron seraient moins touchées par la perte de goût et d’odorat par rapport à ceux contaminés par le variant Delta.
Selon les rapports du ministère sud-africain de la Santé et ceux de l’étude Zoe menée par le professeur britannique Tim Spector en Grande-Bretagne, les symptômes les plus courants observés chez les personnes atteintes du variant Omicron sont proches des symptômes grippaux.
Les symptômes les plus répandus sont donc des congestions nasales, des maux de tête, une toux sèche qui donne la sensation d’une gorge qui gratte, de la fièvre, une fatigue extrême, une perte d’appétit ainsi que des sueurs froides caractérisées par des épisodes répétés de transpiration extrême notamment la nuit et des douleurs musculaires, localisées particulièrement au niveau des lombaires.