DIG/ C’est tout un système opaque de corruption à grande échelle qui prévalait à la Société nationale des Hydrocarbures.
En effet, d’après le quotidien L’Union, les relevés des comptes de la Gabon Oil Company montreraient une activité importante des associations.
On relèverait ainsi, pour le compte de la GOM (Gabon Oil Marketing), 3,8 milliards de francs pour le financement des associations sur les deux dernières années avec des justificatifs non probants.
Selon les informations en cours, Patrichi Tanasa aurait alimenté certains activistes dont le sulfureux Lanlaire via différents émissaires grassement payés pour l’occasion dont Juste Louongo, Ismaël Borobo, Gaël Koumba alias « Le Général des Mapanes ».