DIG/ Dans le but de renforcer l’attractivité de la Zone économique à régime privilégié de Nkok (Zerp), et accroitre les investissements directs étrangers, le ministre de l’Economie, Régis Immongault, s’est rendu, le 8 janvier 2017 à Nkok.
Au cours de cette visite, le membre du gouvernement a procédé à la vérification de l’effectivité des opérations de dédouanement et a présidé deux réunions techniques.
« Le problème était la relation avec les services centraux. Un exemple : le service des Douanes doit se faire ici (Guichet unique de Nkok, ndlr). Cela passe par la mise en place d’un système informatique et d’une connexion entre le service de Douane de Nkok et les services centraux. Pareillement, pour que les agents qui y travaillent délivrent tous les documents administratifs dans les temps requis », a expliqué Régis Immongault
Ce qui freinait la totale performance du guichet unique était pour les Douanes, la « délégation de signature » au représentant de cette administration à Nkok pour les documents suivants : Le certificat d’origine (des produits), le certificat d’empotage (délivré par la Douane pour authentifier le contenu des conteneurs) et le fonctionnement optimal du Système informatique de gestion de la Douane (Sindara).
Les échanges aves les opérateurs économiques installés à Nkok, ont porté sur les questions relatives aux ressources humaines, à la qualité des infrastructures pour le transport des consommations intermédiaires de l’intérieur du pays vers la zone de Nkok, et, des produits finis ou semi-finis de Nkok vers les ports.
Brice Gotoa