DIG/ Afin d’éviter un effondrement total du réseau électrique, la SEEG a indiqué, dans un communiqué de presse, être contrainte d’effectuer des délestages rotatifs d’une durée moyenne de 3 heures, 2 à 3 fois par jour, dont le planning prévisionnel est désormais disponible sur les réseaux sociaux officiels de la SEEG, depuis le mercredi 4 septembre 2024.
Selon l’entreprise, cette crise résulte d’un déficit de 60 mégawatts, consécutif à la baisse critique du niveau d’eau des barrages hydroélectriques de Kinguélé-Tchimbélé, avec pour conséquence l’exploitation limitée des groupes de l’usine.
A cela s’ajoute l’indisponibilité de plusieurs ouvrages de production des centrales thermiques d’Alénakiri et d’Akournam, qui contribuent à hauteur de 50% aux besoins énergétiques actuels du Grand Libreville.
