DIG/ Incarcéré depuis le 30 novembre 2019 à la prison centrale de Libreville, l’ancien prote-parole de la présidence de la République, Ike Ngouoni Aila Oyouomi, devait comparaitre, ce jeudi 24 mars 2022, devant la Cour criminelle spéciale.
Sauf qu’à l’instar de Christian Patrichi Tanasa (Ex-DG de la GOC), il a été lâché, à son tour, par ses avocats, qui ont boudé l’audience.
Pour rappel, le jeune quadragénaire est accusé d’avoir pris part à une vaste opération présumée de soustraction frauduleuse de l’argent du contribuable pour des raisons personnelles, selon des sources proches du dossier.
Il aurait agi, en toute connaissance de cause, à la demande de Brice Laccruche Alihanga, l’ex-directeur de cabinet du président de la République.