DIG/ A l’occasion de la création d’un nouveau cadre de coopération de lutte contre le terrorisme dans le monde entre les Etats Unis et les pays arabes, le locataire actuel de la Maison Blanche a engagé son pays dans un investissement financier à hauteur de 110 milliards d’euros, soit près de 72 170 milliards de FCFA pour mieux organiser efficacement la lutte contre « le terrorisme et l’extrémisme », et financer également l’acquisition d’ armement.
Contrairement à la politique de Barack Obama qui prônait un rapprochement diplomatique avec l’Iran – à travers la signature d’un accord sur le nucléaire iranien en juillet 2015 – l’ex- magnat de l’immobilier a choisi de se rapprocher du Roi Salman Ben Abdelaziz pour concrétiser sa politique sécuritaire et militaire contre les groupes rebelles.
Ainsi faisant, le président américain rompt à ciel ouvert ses liens diplomatiques avec Téhéran, « la puissance montante dans la région », tout en l’accusant de « finance, arme et entraîne des terroristes (…) qui répandent la destruction et le chaos à travers la région ».
Par ailleurs, selon notre confrère Le Monde, l’Iran s’obstine toujours à soutenir Bachar Al-Assad et le mouvement chiite libanais Hezbollah.
Dorian Bissielou Mbouala