DIG/ En cas de flagrant délit de non port du masque, les personnes interpellées devront payer leur amende au Trésor public et non auprès des agents des forces de l’ordre verbalisateurs.
C’est la précision qu’a tenu à apporter le Conseiller spécial chargé de la communication présidentielle, porte-parole de la présidence de la République, Jessye Ella Ekogha, lors de son point de presse, le 25 janvier 2021.
Cette option devrait permettre- on s’en doute- de freiner les multiples tentatives de racket des Forces de défense et de sécurité. Sans pour autant garantir son efficacité à toute épreuve.
Pour rappel, le port du masque est rendu obligatoire dans les espaces publics sous peine d’une amende allant de 25 000 à 200 000 francs.
Le non respect des rassemblements limités à 30 personnes entrainera systématiquement des amendes allant de 100 000 à 5 000 000 francs.
Pour faire respecter toutes ces mesures, des check-point seront installés dans tout le pays.