DIG / Les étudiants gabonais installés au Sénégal dénoncent avec force les retards persistants dans le paiement de leurs bourses et de leurs frais de scolarité.
Certains affirment être restés jusqu’à sept mois sans versement, une situation qui compromet leur capacité à payer le loyer, à se nourrir ou à se soigner.
« Pourquoi ces retards de paiement à répétition ? Pourquoi aucune communication claire sur ces délais ? Comment sommes-nous censés rapporter d’excellents résultats dans ces conditions ? », s’interrogent-ils.
Par la voix de leur porte-parole, les étudiants interpellent l’État gabonais et l’Agence Nationale des Bourses du Gabon (ANBG), réclamant des mesures concrètes : régularisation immédiate des virements, respect du calendrier de paiement, transparence en cas de retard, et surtout l’affectation à Dakar d’un responsable dédié pour assurer un meilleur suivi des boursiers.



