Situation au CGC : La mise au point de l’Oprag

DIG/ La Direction générale de l’Office des Ports et Rades du Gabon vient de marquer son étonnement sur la sortie médiatique d’un « collectif » des employés du Conseil Gabonais des Chargeurs.

En effet, le mardi 12 janvier 2020, un point presse dudit « Regroupement pour la préservation des emplois des agents du Conseil Gabonais des Chargeurs (RPEACGC) » a été relayé dans la presse sur la situation actuelle du Conseil Gabonais des Chargeurs.

Sauf qu’à ce jour, soutient l’Oprag, un seul collectif est reconnu légalement par la Direction générale.

Il s’agit, indique l’autorité portuaire, du Collectif des Agents du Conseil Gabonais des Chargeurs, dont le mandat est en cours de renouvellement.

Ainsi, pour l’Oprag, cette déclaration est dénuée de tout fondement, en raison du caractère illégal du collectif et de ses auteurs en déphasage avec la réalité du Conseil Gabonais des Chargeurs.

« Depuis 2020, malgré le contexte difficile lié à la pandémie de la Covid-19, la Direction générale actuelle s’est employée à renflouer le CGC en procédant à la remise à plat de l’appareil de production en une nouvelle organisation qui permet aujourd’hui, un fonctionnement normal de la structure, en faisant face aux charges y relatives.  

Les salaires, les gratifications, la rentrée scolaire et le début de règlement d’arriérés de salaire cumulés sont aujourd’hui assurés au vu et au su des agents ainsi que les charges relatives aux cotisations de sécurité sociale de la CNSS», a indiqué un haut responsable de l’Oprag.

A ce jour, soutient l’Oprag, afin de mieux gérer ses effectifs et maintenir sa masse salariale à l’équilibre, le CGC n’a procédé à aucune embauche. Au titre des investissements aucun contrat avec valeur nécessitant un appel d’offre n’a été consenti en 2020, notamment pour la société de  prestation des services d’entretien.

«La Direction générale appelle les agents à une plus grande prudence, plus de conscience professionnelle et de travail pour maintenir les acquis, les faire évoluer et tourner- définitivement la page », exhorte l’Oprag.

 

 

 

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La Redaction

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