DIG/ Alors que le groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire demande la libération immédiate de l’ancien ministre Etienne Deiudonné Ngoubou, son indemnisation et la prise en charge de ses soins médicaux, le gouvernement n’a pas daigné réagir officiellement en dépit de la pression médiatique internationale.
L’Exécutif a, néanmoins, nié toutes ces allégations soutenant que le détenu a même eu droit à une hospitalisation de 20 jours à l’hôpital militaire.
« C’est un avis orienté. M. Ngoubou n’est pas victime d’une détention arbitraire », a martelé une source judiciaire contactée par RFI. Rien que cela.