Azur Gabon dément être en « liquidation judiciaire »

COMMUNIQUE DE PRESSE 

« Le Groupe Azur Telecom (Bintel), opérant des réseaux de télécommunications au Gabon, au Congo, en France et en RCA, a constaté depuis quelques jours la parution dans la presse en ligne d’un article tendant à discréditer le Groupe et sa filiale du Gabon en évoquant notamment une liquidation judiciaire.

Cet article d’Afrique Telegraph a été repris par plusieurs autres organes en ligne, sans qu’aucun d’eux n’ait jugé nécessaire de se rapprocher de la Direction Générale du Groupe afin de vérifier ces informations. Une telle légèreté est regrettable tout en étant contraire aux règles usuelles de déontologie journalistique.

Monsieur Jean Bruno Obambi n’est pas actionnaire d’Azur Gabon, il n’est qu’un des Directeurs du Groupe Bintel.

L’Administrateur Directeur Général (ADG) Monsieur Jonas Vane KRINGER a vu son contrat suspendu par le Groupe Bintel suite à son incapacité de trouver des solutions de gestion efficaces de la situation de grève qui perdurait. Les employés d’Azur Gabon ont sollicité l’intervention du Groupe Bintel pour trouver une solution, devant les revendications des travailleurs et surtout le mutisme de Monsieur Jonas Vane KRINGER (confère P.V. du Groupe Bintel).

Le Groupe a décidé de suspendre son contrat pour permettre la reprise des activités et de vérifier les accusations de mauvaise gestion et de détournement de fonds portés contre Monsieur Jonas Vane KRINGER (Voir P.V. des AG des travailleurs).

Azur Gabon n’est pas en liquidation judiciaire. Elle est une filiale du Groupe Bintel basée à Dubaï dont le capital social s’élève à 220 millions de dirhams soit 50 milliards FCFA. Les difficultés financières de la filiale au Gabon vont être résolues, des actions sont menées afin d’y rétablir la sérénité :

–           La restructuration de la société, grâce à un plan de relance impliquant les employés eux-mêmes;

–           Les négociations très avancées avec l’Etat Gabonais, les fournisseurs et  les partenaires financiers  pour pérenniser les activités de la société ».

Max Richard MASSENGO 

apropos de l auteur

La Redaction

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