Las des plaintes des populations rurales, la ministre en charge de la protection de l’Environnement et des Ressources naturelles, Joséphine Flore Mistoul Yame et le secrétaire exécutif de l’Agence nationale des parcs nationaux (ANPN), professeur Lee White, ont officiellement présenté, vendredi dernier lors d’une rencontre avec les medias, la nouvelle solution pour le conflit Hommes-Faunes.
Tiré d’une expérience kenyane, il s’agit d’installer des barrières électriques avec antennes autour des sites qui ont été chois dans le cadre du projet « Fils Faune ».
Ces barrières sont composées des poteaux de 90 cm de haut avec trois rangs de fils de fer électrifiés à des tensions de 7 à 8000 volts et des fils reliés aux piques pointant vers l’extérieur de la zone à protéger.
Ces installations des barrières électriques avec antennes a débuté du coté de la Lope et se poursuivra vers d’autres sites qui ont été retenues pour la phase expérimentale sur une linéaire de plus ou moins 5 km par site.
Notamment Etakanyabé, Terre promise, Etam Tegué, Nzévatican dans l’Ogooue Ivindo ; Moupia dans le Haut-Ogooué ; le site Olam à Rembo dans la Ngounié ; Panga et Mourindi dans la Nyanga et Pongara.
