DIG/ Décidément, le gouvernement gabonais n’arrive plus à faire respecter sa signature.
Afin de faire face à ses »éternels » besoins de trésorerie, de plus en plus pressants, la Direction générale de la comptabilité publique et du trésor était à la recherche, une fois encore, de 10 milliards de francs, rémunérés à un taux préférentiel de 6,00 %, avec échéance au 19 janvier 2018.
Sur les 10 milliards de francs sollicités le 19 juillet 2017 sur les places financières de la zone Cémac, le Gabon n’a récolté que 8,5 milliards de francs.
L’objectif n’a donc pas été atteint, vu que le montant souscrit représente un taux de couverture de la somme mise en adjudication de 85%.