DIG/ L’atelier de validation de l’étude préparatoire du projet d’appui à la 2e phase du programme Graine s’est tenu en vidéoconférence, le vendredi 12 juin 2020 à Libreville.
Les ministères sectoriels et la société civile ont formulé trois principales recommandations à l’endroit du Cabinet Comète, chargé de la réalisation de ladite étude.
Notamment d’être plus précis dans la description des activités du projet en tenant compte du modèle qui sera transmis par l’expert environnement ; de programmer les réalisations des infrastructures routières au cours des deux premières années du projet ; et pour ce qui est de la lutte contre les risques liés contre la faune sauvage, de proposer une activité relative contre les ravages causés par celle-ci.
L’étude qui a coûté 817 millions de FCFA et duré 18 mois vise à encourager la Banque africaine de développement (BAD) à décaisser un second financement en faveur du programme Graine, à travers un appui aux acteurs directs du programme. A savoir la Sotrader, les coopératives et les agriculteurs indépendants mais aussi un appui au développement des infrastructures sociales et économiques telles que les pistes agricoles, la conservations des produits, la commercialisation, l’eau potable, les écoles, la santé, etc.
Elle concerne les provinces de l’Ogooué Maritime, de l’Estuaire et du Moyen Ogooué.
Selon Diane Bimboundza, coordonnatrice du Projet d’appui au Programme Graine phase 2 (PAPG2), l’étude a pris en compte tous les pans du programme Graine lancé en 2014 par le Président Ali Bongo Ondimba pour assurer à terme la sécurité alimentaire au Gabon.
DY
