Le Groupe marocain Walili veut investir au Gabon

DIG/ Le ministre de la Promotion des Investissements, des Partenariats Publics – Privés, chargé de l’Amélioration de l’Environnement des Affaires, Carmen Ndaot, a eu, le 24 août 2020, une importante séance de travail par visioconférence avec un groupe d’investisseurs marocains représenté par le Groupe Walili.

Cette première prise de contact a été l’occasion pour les deux parties d’échanger sur les opportunités d’investissements dans les secteurs intéressant particulièrement les hommes d’affaires marocains à savoir le bois, l’agro-industrie et l’immobilier.

«Nous venons d’avoir des échanges fructueux avec un groupe d’investisseurs marocains  notamment le Groupe Walili, qui souhaitent investir au Gabon et qui a pu manifester un intérêt pour certains secteurs prioritaires. Notamment le secteur du bois en ce qui concerne l’activité de transformation du bois, le secteur agro-industrie concernant la transformation des produits agricoles et le secteur immobilier sur la construction des logements sociaux», a expliqué Carmen Ndaot.

Afin de permettre à ces investisseurs de s’installer sereinement au Gabon et de mener leurs opérations commerciales, l’Etat gabonais a mis en œuvre des réformes pour améliorer l’environnement des affaires.

Il s’agit, en l’occurrence, de l’adoption d’un code des investissements moderne, attractif et sécurisant pour les investisseurs ainsi que la mise en place d’une banque de projet d’investissements.

À l’issue des échanges, le membre du gouvernement a instruit l’Agence nationale de la promotion des investissements Gabon (ANPI-Gabon), qui est la porte d’entrée des investisseurs au Gabon, d’intensifier les échanges sur le plan technique et d’apporter aux investisseurs marocains l’ensemble des informations dont ils ont besoin pour investir.

« Les échanges avec ces investisseurs sont le signe évident que le Gabon demeure une destination idéale, une destination privilégiée pour les investisseurs. Il est maintenant de notre devoir de capter, de concrétiser ces investissements avec les outils que l’État a mis en place notamment l’ANPI-Gabon», a souligné Carmen Ndaot.

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La Redaction

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