DIG/ Le secrétaire général du ministère des Transports et de la Logistique, Jonas Lola Mvou, a clos, le 3 novembre 2017 à l’hôtel Boulevard de Libreville, les travaux du Cours national de formation sur le transport et la manutention des marchandises dangereuses, organisés avec l’appui technique de l’Organisation maritime international (OMI).
Pendant quatre jours, les participants se sont attelés, avec intérêt et assiduité, à connaitre les dispositions du Code maritime international des marchandises dangereuses (Code IMDG) et du Code maritime international des cargaisons solides en vrac (Code IMSBC).
Ce faisant, il s’agissait de contribuer plus efficacement à ‘’connecter navires, ports et personnes’’ dans l’esprit du thème de la Journée mondiale de la mer et plus généralement à préserver et à renforcer la sécurité, la sûreté du système des transports maritimes.
« Je voudrais surtout me joindre aux consultants pour inviter chacun des participants à multiplier et à amplifier la connaissance acquise par le travail assidu. Ne l’oubliez surtout pas, mesdames et messieurs, c’est ici, que votre véritable mission commence », a indiqué Honorat Attoumou Hoba, coordonnateur régional de l’OMI.
Ce séminaire aura permis aux stagiaires de mesurer le niveau d’exigence que constitue la mise en œuvre des instruments obligatoire de l’OMI, sur laquelle portent une large part des résultats de l’audit qui a été conduit au Gabon, et tout particulièrement la mise en œuvre des dispositions du Code IMDG et du Code IMSBC.
« Il conviendra tout d’abord de vous familiariser avec ces fameux instruments obligatoires, leurs évolutions et leurs amendements. L’un des principaux moyens pour y parvenir consistera à exercer une veille réglementaire rigoureuse par l’exploitation des riches sources documentaires de l’OMI. Dans ce domaine, une familiarisation sera indispensable. Travail, opiniâtreté et persévérance devront constituer votre leitmotiv principal», a précisé, Pierre Dufour, consultant principal.
Brice Gotoa