Recouvrement des recettes : La FEG dit « NON » à la parafiscalité

DIG/ Conduite par son Président, Henri Claude Oyima, la Fédération des Entreprises du Gabon (FEG) a eu une importante séance de travail, le mercredi 28 décembre 2022, avec la ministre de l’Economie et de la Relance, Nicole Jeanine Lydie Roboty épouse Mbou.

Au menu des échanges, deux principales problématiques ont été abordées. A savoir : la parafiscalité et la relance de l’économie.

Pour le patronat gabonais, la parafiscalité gêne les entreprises dans leur dynamique de croissance.

La FEG estime que toutes les taxes nécessaires qui sont prélevées au Gabon doivent être reversées au niveau du trésor public.

Et si ce n’est pas le cas, elles devraient donc être supprimées.

S’agissant de la relance de l’économie, la FEG soutient que celle-ci passe par le règlement de la dette intérieure. Cela donnera de la lisibilité et de la visibilité aux entreprises afin qu’elles puissent consolider leurs socles, et donc de relancer l’économie.

La mise en place d’un nouveau Club de Libreville devient, de ce fait, une nécessité.

Très attentive aux solutions préconisées par les responsables de la FEG, la ministre de l’Économie a réaffirmé son appui au secteur privé, car il représente, selon elle, un moteur de croissance économique et de création d’emplois.

« Il y a une convergence de visions entre l’Etat gabonais et la FEG et des belles perspectives de partenariat public-privé.

Le gouvernement collaborera toujours avec la FEG dans l’optique de contribuer efficacement au développement de l’économie nationale », a souligné Nicole Jeanine Lydie Roboty épouse Mbou.

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La Redaction

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