DIG/ Le directeur général du Budget et des Finances publiques, Fabrice Andjoua Bongo Ondimba, a officiellement lancé, le 6 avril 2018, à la chambre de Commerce de Libreville, la séance d’ouverture des plis concernant la réhabilitation des écoles primaires publiques, conformément à l’appel d’offre lancé les 14 et 16 mars dernier.
Ce sont au total 444 PME soumissionnaires qui ont déposé leurs dossiers pour les 180 lots concernés et répartis sur l’ensemble du territoire.
Ces dossiers d’appel d’offre vont faire l’objet d’une analyse minutieuse pendant une semaine au maximum par les trois différentes commissions mises en place par la DGBPIP avec l’appui technique de l’Agence nationale des Grands travaux d’Infrastructures (ANGTI) et le ministère de l’Education nationale.
« Il a été enregistré 444 soumissions au total. Et plusieurs entreprises ont participé à la réunion préparatoire des offres et d’échanges d’informations qui ont eu lieu le 30 mars dans les mêmes locaux de la Chambre de commerce. La DGBIP a tenu à organiser et à moderniser le concept d’appel d’offre en accord avec l’ANGTI. Vous avez pu constater qu’on a ouvert 3 commissions qui vont permettre d’analyser les dossiers de façon impartiale. Chaque commission s’occupe d’une zone du pays. Les choses vont être faites de façon claire et transparente. Chaque entité de la DGBFIP est représentée pour un travail optimal. A savoir les DCAF, les contrôleurs budgétaires, et même les responsables de cellules au niveau du ministère de l’Education nationale. C’est un concept que nous allons reprendre à l’avenir avec l’ANGTI », s’est félicité Fabrice Andjoua Bongo Ondimba.
Bouffée d’oxygène* Le directeur général du Budget et des Finances publiques s’est réjoui de l’engouement suscité par cet appel d’offre au niveau des PME gabonaises. Une opportunité pour ces entités prises dans l’étau d’une conjoncture assez lourde de conséquences. D’autant plus que la commande publique représente un important potentiel d’activités pour les entreprises.
En effet, il sera question, a t-il précisé, de réhabiliter les salles de classes, les sanitaires, les bureaux administratifs et autres locaux dans ces différents établissements.
(Source : L’Union)