DIG/ Lancés en octobre 2018 par l’ancien Premier ministre Emmanuel Issoze Ngondet, les travaux de réhabilitation des voiries des communes de Libreville, d’Owendo et d’Akanda…piétinent.
Accompagné des experts de l’Agence nationale des grands travaux d’infrastructures (ANGTI), le ministre de l’Équipement, des Infrastructures et des Travaux publics, Arnaud-Calixte Engandji Alandji et son équipe ont visité, tour à tour, le 7 mars 2019, la »bretelle » Camp de police-Montagne-Sainte, les voiries du Bas-de-Gué-Gué, de IAI, carrefour »Kanté », Mindoubé, Nzeng-Ayong-Dragages et la route menant au cimetière de Messolo, à Alibandeng.
Au camp de police, les travaux, pourtant entamés y a plusieurs mois, sont restés quasiment au point mort. Pas de trace du moindre engin. Pis, rien n’indique qu’il s’agit d’un chantier, si ce ne sont quelques rares blocs de pierres éparpillés çà et là.
L’entreprise adjudicataire, Colas, peine à mener à bien et à terme, un petit chantier de 330 mètres de linéaire pour 12 mètres de largeur. Ce chantier semble-t-il donc voué à l’échec ? Par contre, au niveau du Bas-de-Gué-Gué, les travaux avancent bien. Au passage du cortège ministériel, ouvriers et engins étaient à pied d’œuvre.
Au niveau de Nzeng-Ayong-Dragages, les choses semblent également bouger dans le bon sens. A l’opposé de l’école de Dragages, les engins de Colas étaient également sur le terrain.
(Source : L’Union)