Surfacturation des repas : Le CNOU répond au journal « Echos du Nord »

COMMUNIQUE/ CNOU

« La Direction Générale du Centre National des Œuvres Universitaires (CNOU) constate pour le regretter que certains médias et réseaux sociaux ont pris pour cible son administration en relayant abondamment de fausses informations.

C’est le cas de la parution << Echos du Nord>> bimensuel gabonais d’informations N°003 du vendredi 4 décembre 2020 sous le titre << La Young Team de Nourredin fait main basse sur le CNOU>>, aux pages 1 et 2.

Aussi, la Direction Générale confirme qu’elle a procédé à l’ouverture des restaurants universitaires dans sa première phase, le 1er décembre 2020 ; avec l’option sandwicherie, soit un sandwich et une boisson au prix unique de 500Fcfa. Cette opération a été rendue possible grâce au personnel du CNOU et suivant les disponibilités.

La Direction Générale réfute donc, avec la plus grande fermeté, la fausse information relayant que le repas serait facturé 7.500Fcfa à notre administration par un prestataire. En l’espèce, la Direction Générale du CNOU tient à affirmer, que contrairement aux fausses révélations d’Echos du Nord, aucune convention n’a été signée avec l’entreprise << Mayena Foods>>

La Direction Générale tient à rassurer la communauté estudiantine quant au retour prochain de l’option des plats chauds. Pour y parvenir, des réunions avec la Direction Générale des Marchés Publics sont en cours pour lancer un appel d’offres ouvert à tous les prestataires répondant aux critères en vigueur en République Gabonaise.

Au demeurant, après l’organisation de son 1er Conseil d’Administration, le 30 octobre dernier, après bientôt 50 ans d’existence, le management de la nouvelle Direction Générale du CNOU entend mettre en place tous les instruments de gestion pour améliorer le fonctionnement et redorer l’image de l’institution.

S’il est reconnu la liberté d’expression en République Gabonaise (Article 1er alinéa 2 de la Constitution Gabonaise), il n’en demeure pas moins que la diffusion d’informations erronées ne concourt pas à la bonne pratique de ce droit fondamental et relève d’une infraction claire au code de la communication.

Dès lors, le CNOU se réserve dorénavant le droit d’ester en justice les personnes physiques ou morales qui diffament l’établissement ».

 

                                                                           Le Directeur Général

                                                                           Jean-Noël EYA NDONG

apropos de l auteur

La Redaction

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