DIG/ Après Oka Services, la start-up qui a développé une application pour appeler des taxis, voici Kevin Services VTC qui a fait son entrée sur le marché du transport urbain de Libreville.
« La pandémie de Covid-19 a révélé que des familles ont du mal à se déplacer. Surtout la nuit pour des raisons de santé. Alors, en novembre dernier, il nous est venu l’idée de créer Kevin services VTC », explique son fondateur qui a requis l’anonymat.
Le concept a convaincu Cofina, établissement de crédits (meso-finance) qui a tout de suite soutenu l’initiative. La jeune start-up s’est équipée d’un parc de berlines de grande qualité auprès d’un concessionnaire local.
« Nous voulons qu’au Gabon, on parle aussi de service de transport de standard international », argumente-t-il.
Pour les services à la clientèle, la jeune start-up située dans la commune d’Akanda s’est dotée d’une technologie pour assurer la sécurité des usagers.
La majorité de l’activité (contact clientèle, suivi du mouvement du parc automobile dans la ville, liaison avec les agents logistiques de transport – ALT – appelés ailleurs chauffeurs, voire administration des opérations quotidiennes de l’entreprise) se fait par téléphonie mobile ou ordinateur. Du pure e-Transport.
Si pour l’instant les clients téléphonent et le véhicule arrive les chercher, dans deux semaines, Kevin Service va davantage innover.
En effet, la start-up est en train de finaliser Chantophé, une application qui va faciliter la mobilité urbaine des citadins et introduire au Gabon un service de même type que Uber.
« À l’aide de cette application chantophé, vous cliquez, choisissez le véhicule que vous voulez, vous passez la commande. Quand le véhicule est au lieu où il doit vous embarquer, vous recevez une alerte sonore« , a indiqué le promoteur.
Parler de développement demande l’implication et la détermination de tous; félicitation cher compatriote pour l’initiative. Par contre je pense à mon humble avis que les facteurs qui devraient tous nous pousser à poser des actions en vue du développement de notre très cher pays serraient justement « Le sentiment de voir un Gabon développer ». Si on pose des actions pour qu’on parle de telle ou telle chose au Gabon comme à l’extérieur, je crains que ce ne soit que du Ctrl+C Ctrl+V. Dès lors, pas d’innovations.
Inspirons nous des autres en tenant compte de nos réalités. De là émergent les prouesses.
Toutefois, bonne continuation.
Parler de développement demande l’implication et la détermination de tous; félicitation cher compatriote pour l’initiative. Par contre je pense à mon humble avis que les facteurs qui devraient tous nous pousser à poser des actions en vue du développement de notre très cher pays serraient justement « Le sentiment de voir un Gabon développer ». Si on pose des actions pour qu’on parle de telle ou telle chose au Gabon comme à l’extérieur, je crains que ce ne soit que du Ctrl+C Ctrl+V. Pas d’innovations, autrement dit.
Inspirons nous des autres en tenant compte de nos réalités. De là émergent les prouesses.
Toutefois, bonne continuation.