DIG/ Après la visite de la zone économique du Port d’Owendo (90% d’échanges commerciaux passent par la mer), le nouveau ministre des Transports et de la Logistique, Estelle Ondo, s’est rendu le week-end dernier, tour à tour, à la marine marchande, à l’Agence nationale de l’Aviation civile (ANAC) et au centre de santé des gens de la mer en passant par la direction générale de la Sécurité routière.
Les besoins exprimés par ces différentes administrations sont importants. Et il est difficile de les exécuter économiquement car le contexte actuel ne s’y prête pas. Pour Estelle Ondo, il faut avancer avec une feuille de route à la limite des moyens.
« Nous ne pouvons pas objectivement parler de diversifier l’économie si nous n’avons pas un système efficace de transport, que soit terrestre, maritime, aérien, fluviale ou ferroviaire. Les outils ou les véhicules des transports qui viennent à nous, ce n’est pas nous qui les fabriquons, nous les recevons et nous avons le devoir d’être aux normes internationales. Nous avons le devoir de sécuriser l’activité, nous avons le devoir de prévenir justement les éventuels accidents », a indiqué Estelle Ondo.
Brice Gotoa