Violences basées sur le genre : la Setrag résolument engagée dans la lutte

DIG/ Entreprise citoyenne, la Société d’exploitation du transgabonais (Setrag) ne lésine pas sur les moyens, lorsqu’il s’agit des violences contre les femmes. Ou du moins, des violences basées sur le genre (VBG).

Ici, il est question pour l’entreprise concessionnaire du chemin de fer de lutter contre les VGB, en lien avec le partenariat conclu le 27 mai 2022, avec l’Organisation de défense de la femme et de parité (ODEFPA).

Si Libreville a constitué le point de départ de cette lutte menée dans le cadre d’une campagne, les villes de Booué et Lastoursville ont constitué la deuxième phase de cette campagne de sensibilisation, après celle de Libreville. Avec pour population cible, les autorités administratives locales, les élus municipaux et départementaux, la notabilité, etc.

L’objectif de cette campagne est d’autant plus fondamental qu’elle permet d’éduquer les uns et les autres sur les différentes formes de VBG. Principale visée : dénoncer, sensibiliser et présenter les différentes formes de violences à l’encontre des femmes et, particulièrement, celles basées sur le genre, leurs conséquences, l’ampleur du phénomène, les mythes et stéréotypes relatifs à la violence sexiste.

Ces questions ont longuement été évoquées durant les séminaires de formation initiés et animés par le procureur de la République, André Patrick Roponat, à l’intention des officiers de police judiciaire (OPJ) de son giron.

Au demeurant, les échanges fructueux avec les experts ont été bénéfiques pour les participants à ces différents échanges. Ces derniers, tout en exprimant leur gratitude à la Setrag, ont appelé à la pérennisation de ces campagnes d’information et de sensibilisation.

 

 

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La Redaction

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