La Zone économique à régime privilégié de Nkok comporte en son sein des activités industrielles réputées très polluantes pour la nature et nocives pour la santé de l’homme.
Le gouvernement a-t-il suffisamment mis des gardes fous pour protéger l’environnement et éviter tout éventuel dérapage ?
Selon l’Autorité administrative de Nkok, rien n’a été négligé dans ce sens. En effet, soutient-elle, une étude sur les impacts environnementaux et sociaux a été conduite par Terea, un cabinet de conseil en management durable des forêts et de l’environnement, qui se base sur les standards internationaux de la Banque Mondiale et du FMI.
Suivie par la Direction générale de l’Environnement, elle a été commanditée pour identifier et réduire les impacts environnementaux et sociaux des travaux de construction de la ZES.
Le développement de la zone a débuté suite à la validation de cette étude par les autorités compétentes.
Aujourd’hui, soutient-elle, les 2 millions d’hectares de forêt de la ZES sont gérés sous aménagement durable par trois principaux organismes : Foret Resource Management (FRM), Terea et Sylvafrica (filiale de ONF internationale).